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LA LETTRE D'INFORMATION

A - 2001-2004 – Le premier adjoint ignoré et contré... « histoires d’eau » !

  1. 1. Pour utiliser à plein la sortie de l'autoroute A9 et provoquer le développement des espaces Pierre CAZENOVE étudie la création d'un rond-point devant articuler le nœud routier à l'intersection de la RN 300, de la RN 113, de la RD2 au contact de l'axe autoroutier et d'une remontée à double voie vers Poussan permettant un accès sécurisé vers la zone des Clach: faute de soutien au Conseil général rien n'est obtenu!
  1. 2. Pour irriguer la zone économique des Clash et la développer, il travaille sur un projet de transformation de la voierie avec l'aménagement d'un espace vert le long de la RN 113, envisage l'achat du "Littoral" hôtel désaffecté, pour en faire le siège de la CCNBT et un centre d'accueil et de formation, préconise l'acquisition foncière des terrains disponibles pour harmoniser la zone, mais pris en main directement par le Maire au titre de la CCNBT dont il est le vice-président chargé de travaux, le dossier ne produit rien.... si ce n'est plus de 700 000€ d'études sans effet concret ! (cf. comptes de la CCNBT ) soit plus d’un million d’euros dépensés à fond perdu puisqu’aujourd’hui (juin 2016) dans le cadre de la finalisation du PLU, l’Etat interdit désormais tout développement économique de cette zone...
  1. 3. Pour protéger l'environnement dont il est passionné et défenseur (comme membre d'OPT dont il s'éloigne en 2016) Pierre CAZENOVE attire l'attention sur la fragilité du Parc d'Issanka et l'approvisionnement de l'eau par la Vène et sur le problème de traitements des eaux usées de Poussan au lagunage des Mouillères. Opposant son légendaire "Y a pas d'souci", le Maire constate en 2006 la dévastatrice inondation du parc d'Issanka et du Moulin de Frescaly due notamment au comblement sur 300m, par un entrepreneur sétois indélicat, de l'exutoire naturel du trop-plein de la Vène, l'Agau.... à l'amont d'un lotissement communal en construction sur la commune de Balaruc-le-Vieux ! Le 4 février 2008, en Conseil municipal, après avoir savamment expliqué en réunion publique du PLU que la station de lagunage était prévue pour traiter l'équivalent de 11 000 habitants, le Maire, est obligé, de reconnaître la pollution du lagunage - équivalant à celle faite par 10 000 habitants - par un marchand de vin. Prenant en compte que le Préfet n'autorisera pas une expansion de Poussan au-delà de 6 900 habitants avec ce type d'installation, le Maire s'astreint alors, à faire réaliser le raccordement à un émissaire en mer pour évacuer les eaux usées de Poussan d'où un surcroît considérable d'investissement et de fonctionnement (+ 400 000€ en 2015 au budget de la CCNBT)repartition population bassin de Thau imputable au contribuable !
  1. 4De même, posant que l'approvisionnement en eau potable et ménagère ne sera pas maîtrisé face à l'augmentation de la population Pierre CAZENOVE pronostique que l'efficience de l'usine de Fabrègues qui assurera le traitement de l'eau provenant du Bas-Rhône est hypothétique. Il requestionne en vain sur l'idée d'un château d'eau situé sur les collines de la Moure pour capter et redistribuer l'eau des sources de Villeveyrac...

Soit 4 projets, des alertes prémonitoires, des réalisations différées, ou contraintes sous l'effet des catastrophes effectives... dossiers relevant de la compétence d'un Maire, vice-président chargé des travaux de la CCNBT.... sourd aux propositions stratégiques de son 1er adjoint !

B- 2001 / 2006 l’ adjoint au développement économique et aux finances, désavoué et destitué : histoire des occasions ratées !

? Afin de valoriser la vocation de carrefour/rencontre entre la métropole Montpellier, l'Agglo de Sète, l'Agglo de Béziers, l'ensemble cœur d'Hérault Agde-Pézenas territoire dont Poussan est pratiquement le barycentre géographique, dès 2002/2003, l'adjoint aux finances très présent sur l'amorce et l'étude du PLU lance 3 idées structurantes :

  1. Pour valoriser la sortie de l'autoroute A9: une maison vitrine de l'étang de Thau près du péage A9; suivant d'autres avis (Mèze, Bouzigues en particulier) le maire a choisi de faire acheter le "Zénith" à Bouzigues pour 1M€ pour en faire le siège de la CCNBT (jamais réalisé) et de la SEMABATH (aujourd'hui en quasi cessation d'activité cf. réunion de la CCNBT mai 2016).
  1. Pour répondre à la diversification du transport camion par autoroute et mettre en place une zone de redistribution vers et depuis Sète et vers l'A75: implanter sur le secteur de Loupian, une plateforme de rupture de charge pour 1500 camions... aucune suite donnée.
  1. 3.Pour rentabiliser le passage du TGV et en compenser les nuisances, prenant en considération que par des aménagements routiers complémentaires, Poussan est à 25/30 min de Montpellier, Sète, Béziers, implanter la gare régionale TGV à Poussan (assortie d'un éventuel héliport); les démarches amorcées par l'adjoint auprès de RFF et au Ministère des transports, de la Région et des Maires de Montpellier et de Sète ont été mollement confiées à une DGS dépassée et non représentative ! Au Conseil municipal du 4/02/2008 l'ancien Adjoint aux finances, mettant fin aux fantasmes électoralistes entretenus par le Maire d'une gare de TGV à Poussan, révélait que le même jour, le Conseil municipal de Montpellier votait l'achat de plus de 30ha à la SNCF/RFF pour créer une ZAC porteuse d'une gare multimodale des 3 têtes de lignes de Tram et de la future gare TGV à St. Roch; en fait, prévue à la Mogère (près du Lycée Mendès France) cette gare, aujourd'hui, pose problème à la Présidente de Région. En réalité ni le Maire de Poussan, ni aucun élu du Bassin de Thau n'a jamais promu cette thèse, cédant au projet de la triple gare Montpellier-Béziers-Narbonne, économiquement absurde !

? Simultanément, mais sans davantage de réussite et de concrétisation, l'adjoint aux finances a instruit, sans pouvoir les mener au bout, 4 projets d'activités à implanter entre Balaruc/Poussan/Gigean.

  1. Création d'un complexe combinant commerces et salles de cinéma sur le secteur de "la Baraque": les porteurs-financiers ? Une enseigne nationale commerciale-meubles présente à Frontignan et Montpellier associée à un investisseur parisien, reçus en mairie et sur le terrain, contacts rompus en 2006 !
  1. Création d'une base logistique (type St Martin de Crau ou Colomiers, visite annulée avec le Maire été 2006) combinée avec un complexe de 8 salles de cinéma sur le secteur Condamines/La Plaine; porteur de projet, un investisseur "local" ayant financé le Montlaur /Carrefour (que Poussan avait refusé) à Balaruc; plan esquissé, projet avorté en juin 2006 !
  1. Requête de mobilisation de 8ha le long de la RD613 vers Gigean pour créer "une rue d'industries" .... dans le cadre du PLU; projet suggéré, sans effet, par le président de la CCI de Sète, PDG fondateur-développeur de "Hexis" à Frontignan par ailleurs favorable à la création d'un Lycée des "métiers de l'automobile et du poids lourd" afin de combiner son intérêt et investissement dans l'automobile (Hexis alors engagé dans la compétition mondiale, écurie de course, 2 pilotes, prototypes) et l'opportunité de reconstruire et diversifier le Lycée Méditerranée / Mendès France (dont l'adjoint aux finances était proviseur) de combiner avec le circuit automobile d'essai "Goodyear" de Mireval, le nouvel établissement étant finalement construit et développé à la Mogère / Montpellier. A noter qu'Hexis est aujourd'hui, à côté d'Altrad un sponsor essentiel du club de rugby de Montpellier et une entreprise présente sur le marché mondial.
  1. Implantation sur le secteur Condamines / la Plaine d'un centre de recherche appliquée sur les énergies nouvelles interactif entre SIIF / EDF Béziers et les universités de Montpellier et Perpignan; négociations amorcées avec le responsable SIIF du programme des éoliennes d'Aumelas. Le projet était complété de l'idée de transfert à Poussan, en lien avec les éoliennes, du transformateur-redistributeur central jusqu'alors à St.Pargoire.

Démarches évidemment non poursuivies à partir de juin 2006.

? Récapitulons les projets avortés ou mal menés entre 2002 et 2006 :

  • Rond-point à l'entrée de Poussan
  • Aménagement et achèvement de la ZAE des Claschs
  • Traitement des eaux usées
  • Approvisionnement en eau potable
  • Création d'une "maison de l'Etang de Thau"
  • Création d'une plateforme de rupture de charge sur l'autoroute
  • Implantation de la gare TGV
  • Création d'une base logistique régionale redistributive
  • Création d'un complexe combinant commerces/cinéma
  • Construction d'un lycée professionnel de l'automobile et du poids-lourd.
  • Création d'un centre de recherche appliquée sur les nouvelles énergies.

? Observons par contre que pendant la période 2001/2006 les finances de la commune (cf. « le compte administratif 2015 à Poussan », dossier établi par Jacques Llorca et Christian Poinas) ont été tenues puisque chaque année l'exécution du budget a dégagé un CAF (capacité d'auto- financement) positive. Cet excédent pouvait permettre d'émettre des emprunts significatifs sans risque et de choisir les investissements structurants et positifs générant des emplois et de l'activité économique.

A contrario, en 2007 et 2008 quand la gestion des finances et les travaux ont été assurés directement par le Maire et sa DGS, la CAF est devenue négative les projets évoqués étaient abandonnés pour d’autres choix générant des surcoûts de fonctionnement (il n'y avait plus d'adjoint aux finances pas plus qu'il n'y avait de directeur technique des travaux jusqu’à la fin du mandat).

Lors du second mandat du Maire, la CAF est restée négative jusqu'en 2011. Saisi le 8 avril 2010 par Jacques Llorca, des dérives budgétaires de la commune de Poussan, alors même que le payeur de la Trésorerie de Mèze n'avait pas "bougé", le Préfet interpellait la mairie de Poussan et, après audition du maire, de la DGS et du nouvel adjoint aux finances, et 2 admonestations de Chambre Régionale des Comptes , amenait la commune à vendre dans l'urgence des biens communaux majeurs : le terrain de football de la Malesca où le groupe COSA-Promotion érigeait la résidence des Sénioriales et les terrains de la Fontette où le bailleur social Hérault Habitat construisait une première tranche de logements ("les Treilles") la seconde ("la Capoulière") voyant sa réalisation en... 2015 ! Ces 2 ventes ayant été étudiée pour l’une et pré-négociée pour l’autre, dès 2005, par Jacques Llorca au côté du Maire... qui devenait par la suite administrateur d'Hérault Habitat !

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